BMW Série 1 : Trêve de propulsion, bienvenue à la traction
Le constructeur bavarois a présenté la troisième génération de sa Série 1, dont le lancement mondial est programmé pour le 28 septembre 2019. Esthétiquement, son style compact évolue vers plus de sérieux et de sobriété. La nouvelle calandre est légèrement plus imposante que sur la précédente génération, sans aller dans l’excès comme sur la Série 7 ou le X7. L’arrière de l’auto est différent, avec des feux arrières assez fins et une lunette arrière plus petite. Le diffuseur est beaucoup plus marqué.
Une fois à l’intérieur, l’habitacle a été modernisé grâce au digital et à son double écran numérique. Recharge du smartphone par induction et commandes gestuelles intégrées, cet habitacle s’inspire un peu de la Série 3. La nouvelle Série 1 se veut légèrement plus spacieuse que sa devancière, ce qui devrait ravir ceux qui le lui ont souvent reproché. L’espace aux jambes à l’arrière évolue de 33 mm et une largeur totale en progrès de 13 cm. Par ailleurs, en matière de volume de chargement, nous notons que le coffre électrique bénéficie d’une légère hausse permettant d’accueillir 380L de bagages divers et variés (+20L).
Sous le capot, le six cylindres en ligne disparaît au profit de blocs essence et diesel de trois ou quatre cylindres, allant de 116 chevaux (BMW 116d, diesel 3 cyl 1,5 L) à 306 chevaux (BMW M135i xDrive, bloc essence, 4 cyl 2,0 L).. Traditionnellement, la Série 1 est une voiture à propulsion. Ce n’est plus le cas. BMW ne propose sa nouvelle Série 1 qu’avec une transmission avant (traction) ou intégrale (xDrive). Ces choix expliquent le gain d’espace intérieur. La BMW Série 1 reçoit une boîte manuelle à six rapports ou une boîte automatique Steptronic à 7 ou 8 rapports.